Stig Dagerman
« Il n’existe pour moi qu’une seule consolation qui soit réelle,
celle qui me dit que je suis un homme libre, un individu inviolable,
un être souverain à l’intérieur de ses limites. »
Stig Dagerman
« Il n’existe pour moi qu’une seule consolation qui soit réelle,
celle qui me dit que je suis un homme libre, un individu inviolable,
un être souverain à l’intérieur de ses limites. »
Stig Dagerman
C’est plutôt tardivement et assez modestement que la presse libertaire de langue française s’est intéressée à Stig Dagerman (1923-1954), écrivain anarchiste suédois. Il a même fallu attendre la récente réédition, chez Agone, de L’Île des condamnés et la publication, chez le même vaillant (...)
En conclusion de ta postface à La Dictature du chagrin, tu livres une « confession » : c’est, dis-tu, la lecture, en tes jeunes années, d’un texte de Stig Dagerman – Tuer un enfant – qui a « très largement déterminé [ta] vocation de svédisant », mais aussi « l’être humain que [tu es] devenu, (...)