Rainer Biemel - José Peirats
« Tuer un ministre, quelle sottise ! C’est un honneur rendu au néant ! »
Albert Cossery
« Tuer un ministre, quelle sottise ! C’est un honneur rendu au néant ! »
Albert Cossery
Hommage à Rainer Biemel,
alias Jean Rounault (1910-1987)
– L’écriture comme fraternité agissante
– Pourquoi j’ai écrit « Mon ami Vassia », par Jean Rounault
– À propos de « Mon ami Vassia », par Pierre Monatte
José Peirats vu par l’Alma Mater<
Dans la vaste production littéraire relative à l’univers concentrationnaire soviétique, Mon ami Vassia représente sûrement un livre à part, et ce pour au moins deux raisons : d’une part, il décrit son premier cercle, cette structure répressive intermédiaire que représentaient les « colonies (...)
À cette question, il y a une réponse très simple : j’ai écrit ce livre parce que j’avais promis à mes camarades russes de dire ce qu’est leur vie et leur combat. J’ai essayé de tenir ma promesse en racontant ce que j’ai vu et ce que j’avais entendu. Je me suis interdit d’ajouter le moindre (...)
Il est de bon ton de diminuer l’importance de J’ai choisi la liberté, de Kravchenko. M. Gabriel Marcel n’y a pas manqué dans sa préface. Je n’en continue pas moins à trouver ce livre un témoignage unique et d’un poids incomparable. Peut-être Kravchenko n’en écrira-t-il plus qui le vaille. Il (...)
José Peirats (1908-1989), qui fut briquetier et journaliste ouvrier avant de devenir l’un des meilleurs spécialistes de l’anarchisme espagnol, a souvent été cité dans les colonnes d’À contretemps, et ce pour au moins deux raisons. La première, c’est que, pendant les années 1930, son existence (...)