Sa vie durant, B. Traven cultiva patiemment le mystère. Il recouvrit d’une nouvelle identité littéraire une ancienne existence de révolutionnaire (...)
Depuis Shakespeare, Sade et Lautréamont, les écrivains sans visage exercent un pouvoir de fascination presque incoercible. Dans le cas de (...)
« En avant ! L’insulte, la prison et les menaces de mort ne peuvent empêcher l’utopiste de rêver. » Ricardo Flores Magón, Regeneración, Los Angeles, (...)
Entre 1925 et 1929, Traven a écrit trois romans plus ou moins autobiographiques : Die Baumwollpflücker (« Les Cueilleurs de coton »), Das (...)
Posada
Quand paraît Aslan Norval [59], au printemps 1960, B. Traven n’a plus publié de roman depuis vingt ans. (...)
Le gros capitaliste
Dans un petit village indien de l’État d’Oaxaca apparut un beau jour un Américain soucieux d’étudier le pays et les gens. En (...)
« Je ne suis pas magoniste, je suis anarchiste. Un anarchiste n’a pas d’idole. » [62] C’est par ces mots, extraits d’une de ses œuvres théâtrales, que (...)
B. Traven en français
■ Le Vaisseau des morts a connu trois traductions de l’original allemand : la première par Charles Burghard (1934), la (...)